La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1544)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1543) -
Chapitre 15 : De bien rustres personnages -
De ce pas, jallais sur LinkedIn, mettre en ligne mon curriculum vitae... Le lendemain matin, je métais levé tôt, et prenais mon petit déjeuner seul dehors, sur la terrasse ensoleillée, près de la piscine, assis sur un transat, je feuilletais un magazine tout en sirotant mon expresso. Jappréciais le calme, les odeurs de café, de foins coupés, jécoutais le rossignol chanter et je savourais à pleins poumons cet environnement rural ! Jétais bien, lesprit reposé, détendu. Juste de petites douleurs en périphérie de mon anus, lorsque je le contractais. Je me questionnais également : Comment avais-je pu vivre en ville ? Comment avais-je pu accepter ces bruits urbains ininterrompus, ces coups de klaxon, cette pollution, ce stress permanent ?... Alors que là dans la campagne, je me ressourçais, je me sentais en harmonie avec cette nature apaisante, bienfaitrice
Bien sûr mes pensées partaient aussi dix kilomètres plus loin, vers ce lieu de soumission, de débauche et de luxure, au magnifique Château dEvans
Je repensais à lincroyable lieu historique quil était, peut-être peu connu des historiens eux-mêmes, à savoir que le fameux Marquis de Sade en personne y avait séjourné si souvent ! (NDLA : lire les Origines de la Saga) Et puis je rêvais aussi, minterrogeais : Monsieur le Marquis était-il réveillé ? Je limaginais allongé, les yeux fermés dans la pénombre, nu, la queue raide, dure, tendue avec une ou un esclave à Ses côtés. Se laissait-il goûter, respirer, humer, lécher délicatement ? Se laissait-il gober, téter doucement ? Laissait-il enrouler une langue soumise autour de Son sublime gland ? Laissait-il Sa queue senfoncer dans une bouche servile, lentement mais inexorablement, jusquà ce que ces lèvres domptées touchent Son ventre ?
« Tu as gagné mon pauvre alex, quel imbécile tu es ! », me disais-je en sentant ma nouille senorgueillir dans cet étui métallique, soudainement trop étroit.
- Eh le petit enculé
Oui, cest à toi, à la lopette que je parle !
Charles nest pas là, y parait quil souhaite me voir !
Je me retournais et reconnaissais immédiatement le rustre et grossier Marcel
Lui aussi faisait le tour des vignes de Monsieur le Marquis, dans une tenue peu orthodoxe
Il était là, torse nu, dans une cote de travail à bretelles, bite à lair et en main. Il se paluchait allègrement, sans scrupule, sans se soucier déventuels regards.
- Non Monsieur, je ne lai pas vu encore aujourdhui.
- Dis-y que si y veux me voir, je serai là demain matin à 9 heures pétantes.
- Bien Monsieur, je lui dirai !, lui répondais-je en méloignant.
- Eh le petit chien, approche-toi un peu, ne fait pas leffaroucher, tu as déjà gouté à ma queue, non ? Alors viens me la sucer si tu ne veux pas être enculé à sec ?
Ce rustre sauvage, avant même que je puisse menfuir, mattrapait déjà fermement par un bras, le tenait implacablement dans mon dos. De son autre main, il baissait si rapidement mon short et mon slip à mi-cuisses que je navais même pas eu le temps de réagir. Puis il pointait déjà sa bite raide contre ma rondelle. Quelle honte ! A moitié à poil dans un rang de vignes à proximité du chemin départemental, sur lequel pouvait circuler quelques voitures
jétais tétanisé.
- Tu tiens vraiment à te faire enculer à sec, la lope ?
Non, je ny tenais pas, vraiment pas
Marcel avait une bonne pine, aussi longue quépaisse
- Non Monsieur, laissez-moi, sil vous plait Monsieur
laissez-moi.
Je sentais son membre pulser et forcer mon ouverture. Sans sommation, il se plantait en moi, par derrière, direct, dun seul coup de rein ultra-puissant venant perforer mon petit trou, me tenant toujours le bras replié, mobligeant à me pencher en avant, mon cul à sa merci, son autre main tirant sur mon épaule. Il simmobilisait en moi, le temps que sapaise la douleur, puis il commençait à me limer doucement en me traitant de pute, de grosse salope, de mille insultes dégradantes, mais je lavoue si excitantes à mes oreilles. Il me lâchait enfin le bras, pour mieux me tenir fermement par les hanches, pour mieux me saillir sauvagement. A cet instant, je remerciais Madame Marie, davoir entrainé mes sphincters à se dilater, comme elle lavait fait hier après-midi. Mon cul répondait mieux à ces assauts, à ces coups de butoirs incessants
Force était de constater que je prenais du plaisir, un plaisir intellectuel, car sans le savoir, Marcel assouvissait un de mes fantasmes. Combien de fois avais-je rêvé de me faire « violer » ? Combien de fois métais-je branler en mimaginant dans une telle situation ? Je constatais aussi que mon plaisir nétait pas que mental ! Mon trou navait pas résisté très longtemps. Mon cul prenait toute entière cette queue, lavalait jusquaux couilles, dans une délicieuse et douce douleur, prélude de labandon à ce pieu de chair qui mattachait au plaisir intense de la bite, de sa bite. Mon cul venait de ladopter, disait « Oui, je te veux » disait « Baise-moi, nique-moi, lime-moi, encule-moi »
sans aucun tabou, aucune retenue, aucune limite
« Je suis à toi, mâle viril, abandonné à ta queue
Oui je suis salope, pute
à ta disposition »... Marcel râlait, jouissait à grand bruit puis délogeait son membre de mon antre plein de foutre, le rangeait et séloignait me laissant pantelant, haletant, ébranlé
Puis, quelle était ma surprise quand jentendais Marcel parler à seulement une dizaine de mètres dans un autre rang de vignes.
- Allez-y les gars, il est chaud, je viens de me vider les couilles dans son petit cul de pute, il est donc tout prêt pour être utilisé, alors ne vous privez pas, vous savez que cest un cadeau de Monsieur le Marquis
. Comme Il a dit Lui-même « Ce sera un petit acompte aux braves ouvriers viticoles que vous êtes »
Ainsi jétais offert en cadeau ! Et si je ne métais pas aventuré dans les vignes ? Si jétais resté tranquillement devant mon café ?... Oh, je pense que je naurais tout de même pas échappé à servir de cadeau, cela aurait été dans un autre lieu, à un autre moment !... « Offert en cadeau ! » Alors si tels était les propos du Maître, je devais me soumettre à servir de cadeau, sinon je me risquais à mécontenter le Châtelain et ça, pour rien au monde je ne pouvais lenvisager
Quelques instants plus tard, sapprochaient cinq ouvriers viticoles, tous torse nu et en bermuda. Leurs yeux étaient gourmands, à lévidence, ils avaient des regards de prédateurs face à leur proie. Trois étaient plutôt trapus et costauds et les deux autres plutôt maigres et élancés. Et je peux affirmer clairement que je me suis fait littéralement violer par cette équipe douvriers. Dabord, le premier avec son sourire carnassier sortait un string de sa poche et me dit dune façon directe que si je ne mettais pas ce string, il irait directement sen plaindre à Monsieur le Marquis afin que je me fasse punir. J'ai pris peur, et du coup je navais pas le choix, jenlevais au plus vite mon short et mon slip que javais déjà remis et j'ai dû mettre ce string qui, je lavoue, nétait pas à contre cur tellement ça mexcitait. Je me retrouvais donc seulement avec un tout petit string à la vue de ces cinq hommes qui visiblement bandaient déjà de la situation, aux vues de leurs bosses sous leur bermuda.
Puis un deuxième homme sortit un plug imposant dans sa main, pas très long, environ 10 cm, mais plutôt large environ 8 cm.
Celui que je suçais se mettait déjà à éjaculer dans ma bouche, tout en me tenant fermement par les oreilles. Puis, sans attendre, un autre prenait sa place et jétais donc avec de nouveau une bite dans ma cavité buccale. Ensuite, je sentais quon menlevait le volumineux plug pour le remplacer sans ménagement par un véritable sexe épais dans mon anus dilaté à souhait ! Je me retrouvais à quatre pattes dans les vignes avec cinq hommes, enchaînant les pipes pendant quon menchaînait les sodomies profondes à grands coups de bite aussi bien dans ma bouche que dans mon cul. On menculait sans vergogne à se vider les couilles chacun à leur tour, et avec la dose de sperme qui sortait de mon anus béant, ça rentrait tout seul pour ceux qui passaient en dernier. Je suçais en bouche ensuite leur bite semi-molle pour les nettoyer de leur éjaculation en mon cul, pendant que j'en avais une autre dans le trou du cul. Tous ces hommes se vidaient en moi, un part un. Durant plus d'une demi-heure je me faisais baiser la bouche et l'anus. J'avais du avalé du sperme et javais le cul en feu, ça dégoulinait de mes fesses... Je nétais plus quun vide-couilles, quun simple objet sexuel utilisé pour soulager ces cinq hommes en rut
Quand tous étaient vidés, celui qui mavait imposé de porter le string me lança :
- Je vais y dire, à Monsieur le Marquis, que tu es une bonne petite pute
Cest bien, tes une bonne lopette !
Puis, les cinq hommes rustres me laissaient ainsi, seul, sen retournant sans un regard, tout en réajustant leur bermuda. Il mavait fallu dix bonnes minutes pour me ressaisir, pour me mettre daplomb. Je métais essuyé du sperme dégoulinant encore du cul, tant bien que mal avec le string que jenlevais ainsi quavec des feuilles de vigne pour ne pas tacher mes vêtements. Alors que je regagnais la bastide, je croisais Charles sur le chemin. « Mince, un peu plus et il maurait surpris en train de me faire enculer » métais-je dit en le voyant venir. Je devais faire pâle figure.
- Eh bien Monsieur Alexandre, vous ici !
- Bonjour Charles.
- Il y a quelque chose qui ne va pas Monsieur Alexandre ? Vous êtes blanc comme un cachet daspirine, si vous me permettez lexpression.
- Oh, jai simplement mal dormi Charles.
- Ah vous aussi
moi impossible de fermer lil de la nuit, à cause de la pleine lune, Monsieur Alexandre, oui la pleine lune !
. Je vous le dis, cest à cause de la lune
Il fallait que je mette fin au plus vite à cette conversation, je me sentais sale et humide, de mes fesses séchappait encore le foutre des rustres ouvriers viticoles
Charles reprenait :
- Vous venez faire un tour dans la vigne avec moi ?
- Jen viens Charles, il faut que je vous laisse, jai un rendez-vous téléphonique important.
- Daccord, alors bonne fin de matinée, Monsieur Alexandre.
- A vous aussi Charles
.
Je méloignais.
- A propos Charles, jai croisé Marcel près de la grande vigne, il ma dit que si vous vouliez le voir, il y serait demain matin vers 9 heures.
- Entendu !, me répondait-il sans se retourner.
Heureusement qu'il ne sétait pas retourné, mon entrecuisse était trempé, short et slip souillés avec une belle tâche blanchâtre sur larrière dun sperme expulsé de mon anus. Heureusement que Charles navait rien vu
Une fois arrivé chez moi, je me déshabillais « Tu tes bien fait mettre mon pauvre alex, tu deviens un vrai pervers ! », me disais-je en rapprochant mon short près de mon nez, afin dhumer ces fragrances de spermes et de baise, accro désormais à ces odeurs
Après la douche, je pansais mon tatouage et regagnais la terrasse. Machinalement javais pris ma tablette pour regarder mes mails et surfer un peu sur le Net. Quatre messages de LinkedIn, deux concernaient louverture de mon compte chez eux, un troisième de la publicité, un quatrième minvitait à ouvrir un lien pour y lire une annonce. Jétais plutôt méfiant de ces mails-là, me renvoyant sur un lien
nétait-ce pas une arnaque ? Un cheval de Troie ? Jouvrais la page malgré mes craintes et lisais :
« Urgent - Marchand de vins recrute à temps partiel et en CDI, un chargé daffaires pour développer son activité en Bourgogne et Beaujolais. Connaissance en Vins nécessaire, bonne rémunération (fixe + commissions) Déplacements à prévoir à létranger (Japon, RU et Etats Unis) Anglais parlé et écrit couramment, le japonais un plus. Envoyé lettre de motivation + CV par mail à ladresse suivante
etc »
Jallais répondre illico-presto à cette annonce, mais un regain de lucidité me freinait immédiatement. Désormais, en ma qualité desclave, javais maintenant besoin de lautorisation de Monsieur le Marquis pour cela. Alors sans plus attendre, je lui envoyais un mail. Sa réponse ne se fit guère attendre :
- Vas-y fonce, petit enculé des vignes !
(A suivre
)
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